Jonni Darkko à la conquête de l’Asie

Le réalisateur nous convie à un buffet où les petites fesses des Asiats sont mises à l’honneur. Dans Asian Anal Assault, Darkko nous livre du gonzo trash aussi chaud qu’un plat vapeur.

Les petites fleurs roses des cerisiers Japonais sont depuis longtemps tombées que déjà les nouveaux bourgeons semblent avoir éclots. En tout cas, c’est ce que nous laisse croire le nouveau film livré par Jonni Darkko. Asian Anal Assault est une suite de scènes gonzo ayant pour particularité de ne faire jouer et jouir que des actrices asiatiques. Le réalisateur a voulu relever un peu le goût de sa soupe. « Avec ce film, je voulais faire des scènes beaucoup plus hard » et on n’en doute pas à l’écoute des cris poussés par les filles. C’est donc dans une bonne sauce à la mouille que les acteurs vont tremper leurs rouleaux de printemps.

S’afférant à la niche asiatique, Darkko a pioché dans un vivier d’actrices aux mœurs des plus débridés. La première geisha a écarté ses cuisses est une fille bien connue du bonhomme car il s’agit de l’élastique London Keyes. Cette dernière avait révélé sa personnalité de parfaite soumise dans les scènes trash et rugueuses de L for London. Celle qui avait été adoubée par Asa Akira se fait de nouveau martyriser pour son plus grand plaisir dans cette production signée Evil Angel. Pour compléter ce casting de folles furieuses, nous retrouvons quatre actrices, plus obéissante les unes que les autres. La petite Française Sharon Lee (en couverture du Hot Explicite de mai/juin) a réussi à se faire une place dans ce gonzo tout en sodomie. Mais c’est surtout la performeuse coréenne Tia Ling qui a laissé son empreinte dans le cerveau de Darkko. « Quand elle a dit « gangbang », j’’étais à fond ! Elle fait même du double vaginal, c’est vraiment crade». On imagine le sourire du réalisateur à la découverte de ces fantaisies pleines d’amour. En regardant les premières scènes, on prend conscience qu’à l’Est, les culs se lèvent aussi facilement que le soleil.

London Keys