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Ce branleur de Nick Stahl

Ce branleur de Nick Stahl

 

L’excellent acteur américain Nick Stahl s’était jusqu’alors démarqué par ses prestations fiévreuses et habitées dans une cinquantaine de films. Pauvre de lui, il vient aussi de se faire interpeller par la police de LA, surpris en plein paluchage dans une cabine de sexshop à Hollywood.

 

Nick Stahl est un véritable écorché vif. Ça, on ne peut le nier. Il exhale ce charisme animal et cette prestance brute, non calculée et sans apprêt, qui l’ont longtemps classé parmi les jeunes rebelles de Hollywood. Une présence amochée qui bouffe littéralement l’écran et a envahi - à des degrés divers - chacune de ses interprétations, de l’uppercut filmique Bully (Larry Clark, 2001) à Calculs meurtriers (alias Murder by Numbers, Barbet Schroeder, 2002), en passant par la somptueuse série La caravane de l’étrange (Carnivale, créée par ce démiurge génial de Daniel Knauf) ou des grosses productions telles Terminator 3 - Le soulèvement des machines (2003) et Sin City (2005).

 

Il faudra dès à présent ajouter à cette activité pléthorique sa probable addiction à la branlette. En effet, Stahl s’est fait prendre en flagrant délit onaniste par une brigade de flics, le jeudi 27 décembre 2012, alors qu’ils effectuaient un contrôle de routine dans certains sexshops de Hollywood.

 

Finalement relâché en payant une caution de 500 dollars, l’acteur s’est contenté d’affirmer à un caméraman de TMZ que c’était « un grand malentendu ». Ce n’est pas le premier à avoir été appréhendé courant 2012 pour des faits similaires, vu que le comique US Fred Willard - méconnu de ce côté du globe - avait essuyé pareil affront en juillet.

 

On ne va pas tirer sur l’ambulance comme beaucoup le font, en pointant les récents déboires de la vie personnelle du comédien, et gageons qu’il effacera rapidement cette mésaventure de sa mémoire. Par contre, on ne manquera pas de se rappeler comme l’industrie hollywoodienne est friande de ce genre de scandales d’ordre sexuel (remember - entre autres - l’opprobre qui frappa Hugh Grant et l’acharnement des médias à relayer les frasques de ce filou de Charlie Sheen).

 

Burn your idols