Photographe, Nina Roberts protège son capital artistique contre le plagiat.
Nina Roberts
fait un doigt au plagiat
Nina Roberts est bonne pâte mais, quand elle se met en colère, ce n’est pas à moitié. Ainsi, depuis qu’elle a quitté V. Communications, la hardeuse ne mâche pas ses mots : « Je suis plus libre maintenant, j’ai une véritable liberté de pensée, je peux dire ce que je veux sur qui je veux, il y a zéro censure », affirme-t-elle. Alors pourquoi se brimer quand on lui « vole ses idées » de photographe ? « C’est quelqu’un de mon entourage, dit-elle sans vouloir le nommer.

Par Nicolas Nykvist
Paru le 20 janvier 2009